Version papier définitive : cr_CRANS-CROUS-20060411.pdf
Source : cr_CRANS-CROUS-20060411.tex
Sommaire
Réunion avec le CROUS concernant le Wifi et l'écriture de la nouvelle convention
Date : Mardi 11 Avril 2006 de 16h25 à 17h15
Lieu : CROUS de Créteil - Salle du conseil
Présents
CRANS
- François Bobot (président)
- Nicolas Salles (responsable technique)
- Vincent Bernat (responsable technique)
- Sylvain Raybaud (secrétaire)
CROUS
- M. Ahmed Allay (responsable vie étudiante)
- M. Jean-Philippe Glab (responsable des services informatiques)
- M. Dominique Heily (Directeur des Affaires Générales)
Ordre du Jour
- Autorisation du développement du wifi
- Les locaux techniques utilisés par le CRANS : en avoir toujours l'accès. Que nous soyons présent lors d'interventions dans ces locaux à l'exception des cas d'urgences. 0A, 0B, 2B, 0C, 0H, 0I, 0J, 4J, 0M, 3G.
- Possibilité de développement
- Clarification dans les papiers d'informations du CROUS : Le CRANS fournit le réseau et non le CROUS
Compte-rendu
Déploiement du wifi
Contexte
Le CRANS poursuit depuis plusieurs années le développement du wifi sur le campus, avec l'accord du CROUS. Mais récemment le CROUS a refusé au CRANS l'accès au toit du bâtiment C, où de nouvelles bornes auraient pu être posées afin d'améliorer la couverture du bâtiment M ; en effet le CROUS craignait que les équipements wifi génèrent des interférences avec un éventuel système de vidéo surveillance connecté en Bluetooth que le CROUS envisage de mettre en place.
Le CRANS a fait valoir que la demande pour le wifi est forte de la part des adhérents et souhaitait donc la levée de cette restriction. Selon les dernières études du CROUS il n'y aurait finalement pas d'incompatibilité entre les équipements wifi et bluetooth, mais il préfère attendre les premiers tests (prévus pour juin) avant de donner l'autorisation au CRANS d'installer de nouvelles bornes.
Autorisation provisoire
Afin de parer aux besoins d'ici là, le CRANS a demandé une autorisation provisoire jusqu'en juin, contre la promesse d'éteindre ou déplacer les bornes à la demande du CROUS pour la réalisation des tests ; en effet :
- cela permettrait de répondre sans délai aux besoins des adhérents
- la mise en place, le déplacement et le retrait des bornes sont très aisés ; de plus les bornes peuvent être éteintes à distance, comme cela a déjà été fait à la demande de l'ENS de Cachan lors des épreuves de l'agrégation par exemple
- si le CRANS ne propose pas ses propres bornes, il est à craindre que les adhérents installent les leurs, dont le contrôle sera bien plus difficile.
M. Allay a affirmé qu'il allait demander la levée de la réserve, sous la promesse que le CRANS adapterait l'activité des bornes lors des tests. Il souhaiterait que le CRANS fournisse au CROUS un plan lisible des bornes du CRANS existantes et en projet. Le déplacement des bornes peut poser un problème, mais le CRANS s'est engagé à fournir régulièrement une liste à jour.
Planning des travaux
L'étude du CROUS est terminée, les travaux pourraient commencer en juin.
Alternatives au bluetooth
Le CRANS et le service informatique du CROUS ont fait remarquer que le bluetooth n'est pas optimal du point de vue de la sécurité, à cause des problèmes de brouillage par exemple. Mais le CROUS n'a pas encore arrêté sa décision quant à la technologie à employer. Le CROUS a demandé si le CRANS pourrait lui fournir certaines infrastructures nécessaires au système de vidéo surveillance, notamment des câbles ou fibres optiques ; mais le CRANS voit plusieurs inconvénients à cela :
- le CRANS a signalé, que son infrastructure n'avait été réalisé qu'en ne prenant en compte notre propre évolution et essentiellement les défaillances que le temps pourrait causer aux fibres. Ainsi il ne dispose que de fibres de secours, au plus une par bâtiment.
- le matériel du CRANS est soumis à des aléas de fonctionnement liés à ses activités, ce qui ne parait pas acceptable pour un système de surveillance
De plus le CROUS a remarqué que l'installation de sa propre fibre est possible a priori mais aucun plan ne peut être fourni.
Légitimité des réserves sur le développement du wifi
Vu la politique du gouvernement d'étendre l'accès des étudiants aux nouvelles technologies et notamment au wifi (cf l'opération MiPE), il semble que les réserves émises par le CROUS ne soient pas légitimes.
Cependant, il a été expliqué que le CROUS avait dû faire un choix entre différents projets et que celui de la sécurité était prioritaire sur le projet du wifi. Ce que le CRANS comprend naturellement.
Le CROUS, en la personne de M. Allay, a souhaité rappeler que les campus universitaires étaient fait pour aller dans le sens des besoins des résidents et non à l'inverse. Ainsi la réserve que maintient encore le CROUS n'est que temporaire.
Écriture d'une convention CRANS-CROUS
Contexte
À l'heure actuelle, le CRANS est lié au CROUS par une convention tripartite incluant l'École Normale Supérieure de Cachan.
L'ENS ayant fait le souhait d'écrire une convention de fonctionnement avec le CRANS. La convention tripartite actuelle sera dénoncée par l'ENS prochainement. Il faut donc réécrire le document actuel pour préserver le cadre des relations actuelles entre le CRANS et le CROUS.
Suite à ce besoin de réécriture du document liant le CRANS et le CROUS, il a été évoqué certains points concernant la rédaction du document et les points à y faire figurer.
Accès aux locaux techniques
Le CRANS dispose de locaux techniques dans tous les bâtiments : étant donné son mode de fonctionnement (intervention à toute heure de la journée) ainsi que le coût et la fragilité de son matériel, il souhaiterait :
- disposer d'un accès permanent à ces locaux
- y avoir le seul droit d'accès, sauf bien sûr en cas d'urgence (intervention des pompiers, etc...), ou d'opération de maintenance ou de travaux par le CROUS auquel cas le CRANS souhaite qu'un de ses membres soit présent pour veiller au respect du matériel.
Il faut noter que ces locaux sont indépendants des autres locaux techniques, comme les armoires électriques par exemple. De plus il est aisé de distinguer le matériel du CRANS du reste.
Le problème qui se pose actuellement est celui du badgeage des bâtiments ; en effet, les vigiles pouvaient disposer d'une liste des personnes habilitées à pénétrer dans les locaux, ce qui n'est plus le cas des rondes de sécurités nouvellement mises en place. Le CRANS souhaiterait donc disposer des badges nécessaires à l'accès à ces locaux.
M. Allay a fait remarquer qu'une décision sur ce point ne pouvait pas être prise à la va-vite, et devrait être discutée au sein du CROUS. Il a cependant proposé au CRANS d'assister aux réunions de chantier, et d'être présent lors des interventions si nécessaire. Le CRANS pourrait également disposer de badges. Il pourrait désigner deux responsables auprès du CROUS qui se verraient confier des badges pour accéder aux bâtiments. Le CRANS se chargeant en interne de la bonne gestion de ces accès.
Développement de nouveaux services
Comme nous le montre l'évolution du CRANS, celui-ci a une forte vocation d'innovation ; afin de pouvoir rapidement mettre en place des tests, il souhaiterait pouvoir obtenir des autorisations rapide auprès de l'antenne de Cachan, afin d'éviter les délais liés à une demande auprès du CROUS de Créteil. En effet, les membres de l'association changeant tous les ans, des délais trop longs signifient l'impossibilité d'entreprendre des actions à moyen terme. Cependant le service informatique du CROUS souhaite être impliqué dans les évolutions du réseau, et disposer d'un certain délai de réflexion.
En conclusion, la convention pourrait comporter une clause stipulant que la gestionnaire de l'antenne de Cachan est habilité à donner au CRANS les autorisations nécessaires à la réalisation de tests, à condition que le CROUS soit informé. Il devra alors répondre dans des délais raisonnables, faute de quoi les opérations auront tout de même lieu. Si le CRANS souhaite passer de la phase de test à une solution définitive, il devra associer le CROUS à ses démarches.
Demande de correction sur les plaquettes du CROUS
Les brochures distribuées aux nouveaux arrivants sont assez ambiguës : le réseau est présenté comme un service du CROUS et non comme un service proposé par une association indépendante de bénévoles. La conséquence fâcheuse est que le CRANS est souvent pris pour un Fournisseur d'Accès à Internet par les adhérents, au mépris du côté associatif qu'il souhaite voir primer. C'est également pourquoi il souhaite éviter, contrairement à ce que suggère le CROUS, de venir "faire de la publicité" le jour des arrivées ; cela permet de plus d'éviter les demandes massives d'adhésion, que le CRANS a du mal à gérer.
Le CROUS attend une proposition de nouvelle formulation de la part du CRANS, qui songe à distribuer une brochure de présentation, et le CROUS ferait clairement apparaître le rôle du CRANS.
En réponse à une question du CROUS, le CRANS a signalé que si RENATER connait son existence, il n'est pas une entité de RENATER à part entière mais une sous-entité de l'ENS.
Le CROUS souhaite voir apparaître dans la future convention que le CRANS ne fournit le réseau qu'aux étudiants.